Sandrine Collette chez JC Lattes
Déception...
Pourtant j'adore l'auteure,son style et sa façon d'aborder le psy sous tension. En dent de scie toujours.
Généralement on suffoque et on se questionne sur les choix qu'on aurait fait.
J'ai aimé tous ses livres sauf #animal.
Son dernier apocalyptique m'avait mis ko (#ettoujourslesforets) sur cette fin du monde écho de notre crise Covid. La survie, le choix terrible, l'errance. Les réflexions étaient nombreuses, les sensations intenses.
Celui-ci...
Je ne suis pas rentrée dans l'histoire de cette fuite des violences domestiques. Le sujet commence aussi à me gonfler vu sous cet angle.
Pourtant je l'ai lu sous les tropiques dans des conditions idéales.
Mais je n'ai pas retrouvé les ingrédients qui font le talent de l'autrice.
Sans surprise et sans projection.
La tension,la traque, la peur, le mécanisme mis en place c'est du revu et du revisité.
Peut-être aussi faudrait il arrêter de livrer un roman tous les ans pour une rentrée littéraire. A trop vouloir écrire et répondre aux demandes, on ne peut pas à chaque coup atteindre la quintessence. C'est mon avis...alors ne vous emballez pas sur les critiques! J'assume quand même!
Être récompensée pour un livre ça fait vendre. Le petit bandeau rouge est impeccable pour percuter et attirer l'oeil.
Je peux me permettre de le dire parce que j'ai tout lu d'elle et que je suis capable d'argumenter sur ses autres bouquins absolument réussis notamment #justeapreslavague et #noeudsdacier.
Mais quand ça fait pas, je le dis aussi sans complexe.
Ça se lit. Mais là ça n'a pas été plaisir et émotion, cœur emballé et sidéré, palpitations et sidération.
Dommage..
#sandrinecollette
#cesoragesla
#editionslattes
#RL2021
#violencesdomestiques
#foret