Sébastien SPITZER chez ALBIN MICHEL
Le titre annonçait une poésie folle. J'étais pleine d'espoir et d'envies. Vite englouties par des narrations sans fin, des longueurs trop descriptives pour moi qui n'aime pas avoir les images sous les yeux, détaillées.
J'aime que mon imaginaire se les représente.
Vous l'aurez compris, ce livre n'a pas atteint mon coeur de lectrice. Pas de pulsation..
Pourtant, c'est un livre intéressant.
Londres dans les années 1860, pendant la révolution industrielle, la crise du coton. Londres qui explose avec les puissants face aux pauvres, à la misère et à l'opium, promesse d'un envol imaginaire.
La prostitution pour subsister, le mensonge pour avancer, une révolution d'idées et de machines.
C'est du Dickens et du Zola à la fois, et donc pas mon style préféré. C'est une histoire aussi d'un amour maternel fort,d'une irlandaise réfugiée pour mettre au monde son enfant illégitime.
C'est aussi l'histoire de Karl Marx.
Un lien entre eux.
C'est le deuxième roman de l'auteur que je ne connaissais pas.
Lu dans le cadre des #68premieresfois .
Voilà, parfois, ça le fait pas. Parce que ça ne répond pas à mes attentes de lectrice. Je l'ai trouvé interminable...
#revolutionindustrielle