Jean Michelin chez Pocket et Heloise D'Ormesson
La couv est belle, le roman empathique et émouvant. Souvent cinématographique aussi tant les scènes décrites peuvent se voir.
Ils sont soldats et l'un d'eux a disparu.
Quête fraternelle, de corps. Unisson du groupe pour l'un des leurs. Il en manque un. Tels des mousquetaires...un pour tous...tous pour un...ils le recherchent car ils savent que la disparition est forcément inquiétante et causée par le passé armée.
#ceuxquirestent est un premier roman réussi qui montre les fêlures et les stigmates des combats mais surtout des retours. Du quotidien impossible à réintégrer. Et des familles qui restent à côté. Sans empêcher. Sans arme égale pour compenser et panser.
C'est le réel aussi, sur place. L'armement et les ordres. La hiérarchie et le respect. La confiance et l'instinct.
C'est la famille qui subit. Qui s'unit pour faire bloc aussi.
C'est l'émotion et les sentiments aussi qui se disent. Les peurs et les drames.
C'est un corps d'armes et d'hommes. Frères. Comme un seul homme.
J'ai beaucoup aimé mais j'ai beaucoup pensé aussi au livre #lembuscade que j'avais adoré de #emilieguillaumin
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